Forum de coopération économique Asie-Pacifique en infographie

21/11 – http://fr.vietnamplus.vn
Superficie : 9 326 000 km2
Population : 1360 Mh
Densité : 145h/km2
PNB : 10 396 Milliards$

21/11 – http://fr.vietnamplus.vn

La Chine et l’Equateur ont décidé jeudi de renforcer leur coopération en matière de capacité de production et dans les secteurs économique et commercial, selon un communiqué conjoint publié au cours de la visite du président chinois Xi Jinping dans ce pays d’Amérique latine.
Au cours de la rencontre entre le président Xi et son homologue équatorien Rafael Correa, les deux dirigeants ont échangé leurs points de vue sur les relations bilatérales, sur les liens entre la Chine et l’Amérique latine, ainsi que sur des questions internationales et régionales d’intérêt commun, indique le communiqué.
Cherchant à promouvoir leur coopération en matière de capacité de production et dans le domaine des investissements, les deux pays ont promis de mettre en œuvre de grands projets dans les secteurs du pétrole et du gaz, des mines, des infrastructures, de la conservation de l’eau, de la communication et de la finance, et d’explorer leur coopération dans les domaines de l’agriculture, de la pétrochimie, des constructions navales, de la métallurgie et de la fabrication du papier.
La Chine entend travailler avec l’Equateur en matière de transfert de technologies afin de stimuler l’industrialisation du pays et de renforcer sa capacité de développement indépendant.
Les deux pays se sont également engagés à encourager leurs entreprises et institutions financières à discuter d’une éventuelle coopération sur le projet Pacific Refinery, un grand complexe pétrochimique situé dans la province de Manabi, dans le nord de l’Equateur, qui deviendra un pilier de l’industrie pétrochimique de l’Equateur et de toute la région.
Dans le domaine du commerce, Beijing et Quito cherchent à atteindre une croissance commerciale stable, durable et équilibrée, et promettent de rendre plus pratique l’accès de leurs produits respectifs sur les marchés de l’un et de l’autre.
Les deux pays désirent également renforcer leurs échanges dans les secteurs de la science et des technologies, selon le communiqué.
La Chine est prête à jouer un rôle actif dans le projet « Cité du Savoir de Yachay » et le « programme Promethée », et à faciliter la coopération entre les académies de recherche scientifique, les établissements d’enseignement supérieur et les entreprises dans la recherche et le développement conjoints, l’innovation ainsi que la commercialisation et l’industrialisation des réalisations des recherches scientifiques.
La Chine et l’Equateur ont de plus décidé de renforcer leur coopération dans les domaines de l’éducation, de la culture, de la santé, du sport, du tourisme et de la justice, de soutenir les échanges entre les médias, les artistes et les étudiants des deux pays, et d’augmenter le nombre d’échanges d’étudiants, afin de promouvoir la compréhension et l’amitié entre les deux peuples.
Les deux parties ont réaffirmé qu’elles continueraient de respecter la souveraineté et l’intégrité territoriale de l’une et de l’autre et de soutenir leurs préoccupations majeures et intérêts fondamentaux respectifs, précise le communiqué.
L’Equateur a réitéré sa ferme adhésion à la politique d’une seule Chine et son soutien aux efforts de Beijing pour parvenir à l’unification nationale, tandis que la Chine soutient les efforts de l’Equateur pour trouver une voie de développement adaptée à ses conditions nationales et pour préserver l’indépendance, la souveraineté, l’intégrité territoriale et la sécurité du pays.
Les deux pays ont par ailleurs convenu de maintenir des échanges étroits de haut niveau et de promouvoir la communication entre leurs organes législatifs, leurs partis politiques et au niveau local, ainsi que la coopération entre leurs ministères des Affaires étrangères, afin de trouver davantage de terrains d’entente et d’accroître leur confiance politique mutuelle.
Selon le communiqué, la Chine et l’Equateur estiment que la coopération pratique représente une partie importante de leur partenariat stratégique global.
Cherchant à améliorer leur coopération tous azimuts, les deux parties désirent intégrer davantage leurs stratégies de développement et mettre pleinement en œuvre une série de mécanismes de coopération dans des domaines tels que la capacité de production, les investissements, le commerce, l’agriculture et la technologie.
Toujours selon le communiqué conjoint, les deux pays ont convenu qu’ils partagent des intérêts communs sur de nombreuses questions internationales et régionales importantes.
Dans le cadre des Nations Unies et du Groupe des 77 (G77), ainsi que de nombreuses autres organisations de coopération multilatérale, les deux pays souhaitent maintenir des communications et une coopération étroites sur la réforme de l’ONU, la gouvernance économique mondiale, le changement climatique et l’Agenda 2030 pour le développement durable, afin de promouvoir la coopération Sud-Sud et de préserver les intérêts des pays en développement.
La Chine soutient la présidence de l’Equateur au G77 en 2017 et aimerait travailler avec le pays pour renforcer l’influence et la voix des pays en développement dans les affaires mondiales.
Le président Xi est arrivé jeudi après-midi à Quito, capitale équatorienne, pour effectuer une visite d’Etat. L’Equateur est la première étape de la tournée de M. Xi dans trois pays d’Amérique latine, qui l’amènera également au Pérou et au Chili. Il s’agit de sa troisième visite en Amérique latine depuis qu’il est devenu président chinois en mars 2013.
M. Xi participera également à la 24e réunion des dirigeants économiques de la Coopération économique pour l’Asie-Pacifique (APEC) prévue entre les 19 et 20 novembre à Lima, capitale du Pérou.
19/11 – http://french.peopledaily.com.cn avec Xinhua

Crédit photo : french.xinhuanet.com
Le président chinois Xi Jinping entamera une visite d’Etat au Pérou samedi sur invitation du président péruvien, Pedro Pablo Kuczynski. Au cours de son séjour, M. Xi participera à la 24e réunion des dirigeants économiques de la Coopération économique pour l’Asie-Pacifique (APEC).
Voici quelques faits importants des relations bilatérales entre la Chine et le Pérou :
Le Pérou a établi des relations diplomatiques avec la Chine en 1971. Depuis, les relations bilatérales se sont développées sans accrocs avec des échanges de haut-niveau fréquents, une coopération économique et commerciale renforcée et une hausse des échanges dans les domaines de la culture, de l’éducation, des sciences et des technologies.
Les deux pays ont établi un partenariat stratégique global, qui est le plus haut niveau de relations entre la Chine et les pays d’Amérique latine.
L’Accord de libre-échange (ALE) Chine-Pérou a été officiellement ratifié par les gouvernements des deux pays en décembre 2009 et est entré en vigueur le 1er mars 2010.
Ces dernières années, le commerce bilatéral a connu une trajectoire ascendante, atteignant un record de près de 15 milliards de dollars en 2015.
Durant les huit premiers mois de cette année, le commerce a affiché une croissance de 9% par rapport à la même période en 2015.
La Chine est le plus grand partenaire commercial du Pérou, son plus grand marché d’exportation et sa source la plus importante d’importation depuis des années. Le Pérou est devenu quant à lui une des principales destinations des investissements chinois en Amérique latine.
Les investissements chinois au Pérou ont bénéficié à de nombreux domaines, couvrant entre autres les secteurs des mines, des hydrocarbures, des infrastructures et des services financiers.
Plus de 170 entreprises chinoises ont investi plus de 14 milliards de dollars au Pérou, aidant ainsi à créer des dizaines de milliers d’emplois et des nouvelles sources de recettes fiscales pour les communautés locales, et contribuant ainsi au développement économique et social du pays.
Les échanges solides entre les peuples ont encore plus rapproché les Chinois et les Péruviens.
Les quatre Instituts Confucius au Pérou ont attiré plus de 4.000 étudiants. Enfin, de plus en plus de touristes chinois épris de la civilisation Inca souhaitent visiter le Pérou.
19/11 – http://french.peopledaily.com.cn avec Xinhua

Les dirigeants de la zone Asie-Pacifique ont été exhortés vendredi à résister à la vague protectionniste qui touche l’Amérique, en particulier avec l’élection de Donald Trump aux États-Unis.
« Aux États-Unis et en Grande-Bretagne (avec la victoire du Brexit, ndlr), le protectionnisme est en train de prendre le dessus. (…) Il est essentiel que le commerce mondial se développe à nouveau et nous devons vaincre le protectionnisme », a lancé le président du Pérou Pedro Pablo Kuczynski en inaugurant à Lima la réunion annuelle de l’Organisation de coopération économique Asie-Pacifique (Apec).
« Toute personne voulant promouvoir le protectionnisme devrait relire l’histoire économique des années 30 », a-t-il souligné.
Donald Trump a su capter la colère d’un électorat populaire laissé sur le banc de touche de la mondialisation en promettant un tour de vis protectionniste censé protéger l’emploi américain de la concurrence low-cost chinoise ou mexicaine.
Le magnat milliardaire de l’immobilier a en particulier fustigé pendant sa campagne le « terrible » Partenariat transpacifique (TPP) conclu en 2015 sous l’impulsion de l’administration Obama, mais dont la ratification par Washington semble désormais hautement compromise.
Barack Obama, qui cédera le pouvoir le 20 janvier, a fait vendredi ses adieux aux dirigeants européens avant de décoller en début d’après-midi pour participer au sommet de l’Apec.
Mais c’est le grand absent, Donald Trump, qui mobilisait toute l’attention inquiète des dirigeants des 21 économies membres de cette organisation pesant 60% du commerce global pour 40% de la population mondiale.
Les pays d’Asie-Pacifique ont jusqu’à présent été les grands bénéficiaires de la mondialisation et craignent d’être stoppés net dans leur élan.
L’atmosphère était sombre au sommet de l’Apec vendredi où les ministres réunis à huis clos ont exprimé leurs préoccupations face à la montée du protectionnisme aux États-Unis, selon un délégué.
Selon cette source ayant demandé à l’AFP à ne pas être citée, le représentant américain du Commerce Michael Froman s’est voulu rassurant en indiquant à ses partenaires que les intérêts fondamentaux des États-Unis ne changeaient pas brutalement d’une administration à l’autre.
Ironie de l’Histoire, l’élection de Trump a érigé la Chine au rang improbable d’unique leader du libre-échange mondial.
Le président chinois Xi Jinping arrive à Lima avec de solides cartes en main pour combler le vide laissé par Washington.
Pékin avait été laissé sur la touche de l’accord de libre-échange TPP signé en 2015 par 12 pays (Australie, Brunei, Canada, Chili, Japon, Malaisie, Mexique, Nouvelle-Zélande, Pérou, Singapour, États-Unis et Vietnam).
Désormais, « Il ne fait aucun doute que si le TPP échoue, ce sera une énorme victoire pour la Chine, politiquement et économiquement », déclare à l’AFP Brian Jackson, chef économiste pour la Chine du consultant IHS Global Insight.
« Il est déjà clair que la Chine va œuvrer vigoureusement à la signature d’accords de commerce régionaux pour s’assurer qu’elle conservera des accès compétitifs aux marchés » de la région, ajoute-t-il.
« Elle l’aurait fait même si le TPP était passé. Mais s’il échoue, cela renforcera considérablement sa position de négociation en tant que principale source alternative de débouchés » commerciaux, conclut cet analyste.
Pékin devrait en profiter pour refaçonner le paysage des échanges économiques en Asie en poussant ses propres traités commerciaux, notamment son projet de Zone de libre-échange Asie-Pacifique (FTAAP), qui vise à rassembler les 21 membres de l’Apec.
La Chine portera aussi le RCEP, projet d’accord de libre-échange entre l’Asean (Association des nations du sud-est asiatique), l’Australie, la Chine et l’Inde notamment, mais sans les États-Unis.
« Le projet de RCEP est une possible alternative asiatique au TPP », note Marcel Thieliant, de Capital Economics.
« Pour le moment, c’est l’incertitude qui domine. Il y a plus de questions que de réponses », souligne Carlos Malamud, professeur à l’Institut Elcano de Madrid.
« L’argument anti-libre échange était à usage électoral interne. Or ce qui est certain, c’est que l’économie des États-Unis dépend en grande partie de l’extérieur », souligne-t-il.
« Trump est en train de prendre conscience des risques et coûts qu’il y aurait pour les travailleurs américains si par exemple il augmentait de 25% les impôts à l’importation de certains produits », assure-t-il.
« En cas de guerre commerciale entre deux pays, chacun a beaucoup à perdre. Ce qui est certain, conclut ce spécialiste, c’est que si les États-Unis tournent le dos à l’Amérique latine, c’est la Chine qui en tirera profit ».
18/11 – http://www.tahiti-infos.com avec AFP

D’après des données du bureau national des statistiques de la République populaire de Chine, citées par l’Association coréenne du commerce international (KITA) ce lundi, le volume des investissements nord-coréens en Chine en 2015 s’élève à 70.000 dollars, affichant un état de suspension dans la réalité.
Ce volume d’investissements de la Corée du Nord dans le pays voisin est le plus bas niveau depuis l’année 1997. En 2010, le montant des investissements nord-coréens en Chine s’est élevé à 11,22 millions de dollars, touchant un plafond, avant une chute libre à 2,68 millions de dollars en 2013, 290.000 dollars en 2014 et 70.000 dollars en 2015.
Dans le sens inverse, la tendance est la même. Le volume des investissements de la Chine en Corée du Nord a marqué 194,6 millions de dollars en 2012 puis 86,20 millions de dollars en 2013, 51,94 millions de dollars en 2014 et 41,21 millions de dollars en 2015. La part des investissements chinois en Corée du Nord par rapport à l’ensemble des investissements à l’étranger n’a été que de 0,03% l’année dernière.
Cette chute démontre que les sanctions imposées par la communauté internationale contre la Corée du Nord pour ses programmes nucléaire et balistique ont entraîné des conséquences négatives sur les échanges commerciaux.
Les chiffres de l’année 2016 marqueront plus de baisses mais les autorités chinoises n’ont pas divulgué les données pour cette année. Un responsable de la branche à Pékin de la KITA a noté que «la baisse des investissements nord-coréens en Chine est due non seulement aux tensions entre les deux pays mais aussi au changement de l’environnement des affaires».
Il a détaillé que «la Corée du Nord a essentiellement investi dans des restaurants en Chine et comme les visites des Sud-Coréens sont en baisse, les restaurants n’ont plus représenté de valeur d’investissement». Concernant la diminution des investissements chinois, elle a été largement causée par la baisse des prix des ressources naturelles sur le marché international, d’après lui.
14/11 – http://french.yonhapnews.co.kr

Crédit photo : twitter.com
La ministre australienne des Affaires étrangères Julie Bishop a déclaré que son pays allait se tourner vers un partenariat économique avec la Chine et d’autres pays asiatiques au lieu d’un accord de libre-échange avec les Etats-Unis, suite à la victoire de Donald Trump aux élections présidentielles américaines.
Mme Bishop a indiqué que si le Partenariat transpacifique (PTP), accord de libre-échange régional entre 12 pays, échouait, l’Australie se tournerait vers le Partenariat économique global régional (RCEP).
Elle a fait remarquer que l’approche de M. Trump vis-à-vis des affaires mondiales ressemblait à celle d’un « protectionniste ou isolationniste classique », alors que les nations de la région Asie-Pacifique s’attendaient à une meilleure direction des Etats-Unis.
« Nous espérons que l’administration Obama, via son président, pourra faire passer le PTP (avant que M. Trump ne prenne le pouvoir en janvier) », a déclaré jeudi Mme Bishop à News Limited.
« Nous considérons le PTP comme une importante manifestation économique de la présence des Etats-Unis dans notre région. »
« S’il n’était pas mis en œuvre, le vide que cela créerait serait alors rempli par le RCEP, l’accord de libre-échange comprenant entre autres les pays de l’ASEAN, la Chine et l’Australie. »
Des experts australiens ont reconnu qu’il était peu probable que le président Obama puisse faire passer le PTP au Congrès avant de quitter la Maison Blanche.
L’opposition au PTP, dont les négociations ont duré sept ans, était un point clé au centre de la campagne de Donald Trump.
Bob Carr, ancien ministre australien des Affaires étrangères, a déclaré qu’il n’y avait plus aucun espoir que Barack Obama fasse passer la loi à ce Congrès avant que Donald Trump n’arrive au pouvoir.
L’ancien ambassadeur australien à Washington, Michael Thawley, a indiqué que le monde arrivait « à la fin d’une ère » dans la gestion de la stabilité stratégique globale, et a exhorté l’Australie à jouer un rôle plus important dans les relations internationales.
« Cela pourrait être une période plus difficile avec Trump (…) mais une transition majeure est inévitable », a déploré M. Thawley face à News Limited.
« Nous ne devons pas devenir hystériques, (mais) juste décidons de la manière dont l’Australie peut au mieux encourager et aider les Etats-Unis à maintenir l’équilibre mondial. Cet équilibre continuera d’être le pilier décisif de la croissance économique, en particulier dans notre région. »
11/11 – http://french.peopledaily.com.cn avec Xinhua

Crédit photo :Isaac Lawrence / AFP
La prestation de serment de 2 députés a été invalidée sur instruction de Pékin en dépit de la décision du Parlement de Hong Kong. Ayant prononcé leur serment en anglais, avec une prononciation « à la japonaise » et portant une bannière « Hong Kong n’est pas la Chine », devaient renouveler leur serment, mais Pékin a fermé cette possibilité. Pékin s’est autosaisi de l’affaire « mettant à mal l’autonomie pourtant garantie jusqu’en 2047, fin de la période transitoire ». « L’indépendance du système judiciaire est considérée comme un des atouts clés de la région … Par cette ingérence dans les affaires de Hong Kong, Pékin a envoyé un message clair à tous ceux qui souhaitent débattre du droit à l’autodétermination des Hong Kongais ».
08/11 – Frédéric Lelièvre – Le Figaro (extrait)

Le 7 novembre, le Ministre des Finances, Lou Jiwei, a été remplacé par un fidèle du Président, Xiao Jie, ancien secrétaire général adjoint du Conseil d’Etat. « Spécialiste des questions fiscales, il ouvrira la voie à une politique budgétaire de soutien à la croissance plus ambitieuse ». Mais actuellement la croissance est au plus bas depuis 25 ans. Et l’impératif politique semble prendre le pas sur les enjeux économiques pour Xi Jinping. IL a « l’ambition d’aborder son second mandat de cinq ans avec les pleins pouvoirs en 2018… A chaque poste stratégique, il place un fidèle …. La féroce campagne anti-corruption a semé le trouble chez les investisseurs et les grands féodaux de l’économie ». « Cela contribuerait à la fuite des capitaux (44 milliards de $ durant le seul mois de septembre, selon Morgan Stanley) et expliquerait aussi en partie la politique agressive d’investissement des certains groupes chinois en Europe et aux Etats-Unis ».
08/11 – Sébastien Falletti – Le Figaro (extrait)

La fusée Longue Marche 5 est lancée à Wenchang, dans l’île de Hainan, le 3 novembre 2016.China Daily/via REUTERS
Le 3 novembre, la Chine a fait décoller la fusée « Longue Marche 5 », capable de mettre en orbite terrestre basse jusqu’à 25 tonnes. C’est un progrès vers son objectif de conquête spatiale, notamment avec une mission sur Mars.
04/11 – Direct matin (extrait)

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En décembre 2014, Xi Jinping a approuvé la lutte contre la corruption et le blanchiment d’argent à Macao. Deux ans après, lors de la visite d’inspection du Premier Ministre chinois, Li Keqiang, du 10 au 12 octobre, ce changement d’orientation économique imposé par Pékin a été confirmé. Macao devient une destination touristique « bon enfant », une place d’échanges commerciaux et financiers avec les pays lusophones (Brésil, Portugal, Mozambique, Angola), elle encourage l’activité de congrès, développe un centre de référence en matière de médecine traditionnelle chinoise et multiplie les événements sportifs ….. Le territoire de 30 Km2 (un tiers de l’île de Ré) accueille chaque année 30 millions de touristes, en majorité des Chinois du continent.
« Hôtel intégré » est le nouveau passe-passe lexical à la mode pour faire oublier les centaines de tables ou les milliers de bandits manchots des casinos …. ». Le mot casino est devenu tabou à Macao !
Mais « avant cette période de diversification forcée par Pékin et acceptée de plein gré par les autorités locales, Macao a connu une phase de développement fulgurante ». « En 2002, la région administrative spéciale est devenue en un temps record la capitale mondiale des jeux d’argent, atteignant jusqu’à 7 fois les montants brassés par Las Vegas ».
31/10 – Florence de Changy – Le Monde (extrait)